Une soirée « Brouillon d’un rêve numérique » à la découverte des œuvres et de leurs auteurs, préparée par Stéphane Trois-Carrés.



La Société civile des auteurs multimédia qui représente 32 000 auteurs de l’audiovisuel, de la radio, de l’écrit du journalisme et de l’image fixe observe les pratiques, les usages transmédias et joue un rôle dynamique dans la promotion des nouvelles écritures.
Avec la bourse Brouillon d’un rêve numérique, résolument tournée vers l’expérimentation, elle soutient les œuvres singulières qui profilent l’avenir de nos documentaires et œuvres d’art numérique.

Nous rencontrerons ainsi Laurent Mareschal qui nous présentera son film Frasques murales, poème visuel sur l’absurdité des murs qui séparent les peuples.

L’improbable conjonction entre notre mémoire auditive du cinéma et Google Earth GEM (Google Earth Movies) de Emilie Brout et Maxime Marion.

Mémo de Mickaïl Margolis, une installation d’anamnèse et papier, où les anciens médias jouent avec les plus récents.

OH d’Anouk De Clercq, une rêverie vidéo sur les architectures utopiques de Etienne-Louis Boullée et la physique d’Isaac Newton.

Terres Vaines d’Augustin Gimel et Brigitte Perroto, où l’histoire s’écrit dans le récit d’un paysage.

Centipède sun de Mihai Grecu, hallucination désertique sur l’antigravitation et des poussières ténues.

Die Uhr de Bärbel Pfander et Brice Morel invite à une réflexion sur le temps et la distance, et sur la mémoire, historique ou familiale, qui en induit toutes les relativités.

Renaud Perrin et Julien Telle nous parleront de leur film Lettres à la mer.

Béatrice Plumet présentera Les immobiles, un film sur l’attente et l’immobilité, jeu de miroir impliquant les modèles et les acteurs dans une épreuve de face à face.

Benoît Nguyen Tat, Stéphanie Sphyras, Jean-Christophe Dollé et Pierre Diot nous parleront de leur installation La borne qui se joue du chômage avec ironie.

Pascale Weber évoque l’idée d’un temps réversible à partir de son installation Immémorial#6-Rew.

Autour de Grand Magasin et Denise Luccioni, des évocations claires et ironiques de l’œuvre.

Cécile Babiole et son installation Gobo Gobo Hey, une histoire de projections et de diapositives, rappelant ce que les nouvelles technologies doivent aux anciennes.

Une soirée visionnaire sur l’ensemble de la richesse et la diversité des écritures.

Information et contact > Eve-Marie Cloquet, directrice de l’action culturelle de la Scam

 

Entrée libre en fonction des places disponibles