A voix haute… Valentine Goby, Carole Trebor, Denis Robert, Laurence Tardieu liront un extrait de leur livre durant 45 minutes…



Grand voyage au fil des mots, des textes et des réflexions sur l’état du monde, le Marathon des mots est une invitation à des lectures à voix haute interprétées par de grands comédiens, des forums et des rencontres avec des auteurs et des éditeurs d’envergure nationale et internationale, menées en partenariat avec des librairies indépendantes…

Pour sa 10e édition, le Marathon des mots met le cap vers le Sud et embrasse l’Europe de Gibraltar à Istanbul pour se promener le long de la Méditerranée aux côtés des écrivains et des artistes venus d’Espagne, du Portugal, d’Italie, de Grèce, d’Égypte, du Liban et de Turquie dont Istanbul est cette année la capitale invitée.

Présente, pour la seconde année consécutive, la Scam propose un programme dédié à la lecture de textes par les auteurs eux-mêmes :

Vendredi 27 juin à 18h30 au Cloître des Jacobins
> Valentine Goby, lit Kinderzimmer (Acte Sud), accompagnée au piano par Jona Vitaud
Dans le camp de concentration de Ravens-brück, une anomalie : la «Kinderzimmer», pièce dévolue aux nourrissons. Une femme y donne la vie, la perpétue, malgré tout.

Samedi 28 juin à 15h30 à la Librairie Tire-Lire
> Carole Trebor lit Nina Volkovitch (Gulf Stream)
Envoyée à l’orphelinat de Karakievo parce que ses parents sont considérés comme des « ennemis du peuple », Nina Volkovitch a fait le serment de s’enfuir et de retrouver sa mère, emprisonnée dans un goulag de Sibérie.

Samedi 28 juin à 17h30 à la Cave poésie René Gouzenne
> Denis Robert lit Vue imprenable sur la folie du monde (Les Arènes)
Après sa victoire judiciaire contre la multinationale Clearstream, Denis Robert revient à l’écriture et signe un road-movie doux-amer et décapant sur l’impact de la folie financière dans nos vies.

Dimanche 29 juin à 15h00 au Musée des Augustins
> Laurence Tardieu lit La confusion des peines (Stock) et L’écriture  et la vie (Les Busclats)
À travers son écriture, Laurence Tardieu (Puisque rien ne dure, Stock) soigne ses maux, ceux qu’elle doit surmonter, et les mots, dont elle cherche l’intensité.