Compères de longue date, Charles Schnaebele et Virgile Tyrode se retrouvent à Paris, où ils cherchent des petits jobs dans le cinéma et le bâtiment, pour un jour pouvoir réaliser et produire leurs propres documentaires. Lorsqu’ils apprennent que Jean-Pierre Mocky cherche des stagiaires non rémunérés, ils sonnent à sa porte. Très vite intimes du réalisateur, ils saisissent l’occasion tant attendue, celle de faire un film à leur compte en dressant le portrait du maestro. De cette poignée de mains naît La Loi de l’albatros.