Le 11 mars 2009, les 1 120 salariés de l’usine « Continental » de Clairoix reçoivent leur lettre de licenciement. Bien que sonnés par ce cataclysme, les « Conti » sont immédiatement habités d’une certitude : celui qui se bat n’est pas sûr de gagner, mais celui qui ne se bat pas a déjà perdu.