Et si la « conversion numérique » était un piège mortel pour les journaux ?
Et si les dirigeants de la presse mondiale se trompaient en investissant à tour de bras dans les applications, les sites et les rédactions multimédias ?
Et si les chiffres mirobolants des pages vues et les audiences faramineuses des titres de presse transformés en « marques médias » étaient un leurre ?
Les 20 pages du manifeste de Laurent Beccaria et de Patrick de Saint-Exupéry interrogent l'avenir de la presse au XXIe siècle.