Lise Blanchet, vice-présidente

Suite à la démission pour raisons personnelles de Josette Alia, présidente du Prix Albert Londres depuis 2006, Annick Cojean a été élue nouvelle présidente du Prix Albert Londres par le conseil d’administration de l’association composé de : Josette Alia, Lise Blanchet, Annick Cojean, Michel Croce-Spinelli, François Hauter, Alain Louyot, Anne Nivat, Patrick de Saint-Exupéry et Henri de Turenne.

Annick Cojean est grand reporter au Monde, directrice et présentatrice de la collection de documentaires Empreintes sur France 5 depuis 2007.
Entrée au Monde en 1981, nommée grand reporter en 1991, Prix Albert Londres en 1996 pour un ensemble de cinq reportages consacrés aux mémoires de la Shoah, membre du jury depuis 2000, Annick Cojean est également auteur de plusieurs livres (une histoire des radios libres en 1986, des entretiens avec Simone Veil en 2004) et de plusieurs préfaces de livres consacrés notamment à des photographes (Bruno Barbey, Anita Conti, Marc Riboud, Martine Franck…).

Sur proposition d’Alain Louyot, et afin de marquer la double identité du Prix des grands reporters (presse écrite depuis 1933 et audiovisuel depuis 1985) le conseil d’administration a élu vice-présidente, Lise Blanchet, lauréate du Prix Albert Londres audiovisuel en 1992, rédactrice en chef adjointe à Thalassa sur France 3.

Alain Louyot, lauréat du prix de presse écrite en 1985, a été élu trésorier de l’association.

Information > Stéphane Joseph : 01 56 69 58 88 / stephane.joseph@scam.fr

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365 jours pour Stéphane Taponier et Hervé Ghesquière, nos deux confrères de France 3 et leurs trois accompagnateurs en Afghanistan, plus de 100 jours déjà pour cinq autres français au Niger, un an et demi pour un autre encore en Somalie…

Si le maître mot de l’Etat français est « discrétion » pour évoquer les négociations, ce ne peut en aucun cas être celui de tous ceux qui pensent aux otages. Aucun n’a envie de se résigner au silence synonyme de l’oubli.

Les journalistes du Prix Albert Londres joignent donc leur voix émue à celles nombreuses de tous ceux qui veulent marquer leur inquiétude et leur solidarité avec TOUS les otages dans le monde.

Information > Stéphane Joseph : 06 82 90 01 93

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APPEL A CANDIDATURES

« Vivre en France, Vivre au Brésil »

Nouvelle thématique, nouveau règlement Les inscriptions pour le Prix Web Photo 2011 sont ouvertes. Né dans le prolongement de l’Année de la France au Brésil en 2009, le Prix Web Photo se veut un échange culturel entre les deux pays. Le jury est composé de personnalités françaises et brésiliennes.
– Carlos Carvalho (coordinateur du Festival de photographie de Porto Alegre),
– Annick Cojean (grand reporter au Monde, présidente du Prix Albert Londres),
– Agnès de Gouvion Saint-Cyr (inspecteur général honoraire au ministère de la Culture),
– Milton Guran (coordinateur du Festival FotoRio),
– Evandro Teixeira (photoreporter brésilien).

Le jury désignera deux lauréats, chacun des deux prix est doté de 10 000 R$ (environ 4.500 euros). Un prix du public sera également décerné à partir des votes recueillis via internet, sur le site : www.prixphotoaliancafrancesa.com ; son lauréat gagnera un voyage en France ou au Brésil.

L’édition 2011 du Prix rendra hommage à Brassaï avec une exposition de ses photographies au Brésil.

Calendrier :
2 octobre 2011 : Clôture des inscriptions au concours.
Les portfolios des candidats doivent être téléchargés sur www.prixphotoaliancafrancesa.com
5 novembre : Annonce des 12 portfolios présélectionnés et ouverture du vote public.
23 novembre : Annonce des lauréats à Rio de Janeiro.

Information France : Stéphane Joseph – stephane.joseph@scam.fr – 01 56 69 58 88 / 06 82 90 01 93
Informations et inscriptions : www.prixphotoaliancafrancesa.com

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APPEL A CANDIDATURES

L’Alliance française, l’Ambassade de France au Brésil et la Chambre de Commerce France-Brésil, avec le soutien de l’Association du Prix Albert Londres, créent le PRIX WEB PHOTO avec pour objectif de récompenser, chaque année, des photographes français et brésiliens. Le thème retenu en 2010 est les cultures urbaines.

Le jury professionnel est composé de :
– Carlos Carvalho (coordinateur du Festival de photographie de Porto Alegre),
– Annick Cojean (grand reporter au Monde, juré du Prix Albert Londres),
– Milton Guran (coordinateur du Festival FotoRio),
– Evandro Teixeira (photoreporter brésilien).
– Agnès de Gouvion Saint-Cyr (ancienne inspecteur général pour la photographie au ministère de la Culture),

Le jury désignera deux lauréats, chacun des deux prix est doté de 10 000 R$ (environ 4.500 euros). Un prix du public sera également décerné à partir des votes recueillis via internet, sur le site : www.prixphotoaliancafrancesa.com ; son lauréat gagnera un voyage en France ou au Brésil.

Le choix d’utiliser la photographie numérique et les nouvelles technologies participe d´une volonté d’ouvrir un espace de création et de partage ouvert à un large public, grâce à Internet.
De la conception de l’image (dont le modèle peut être virtuel ou réel), jusqu’à son stockage (sur des disques ou des mémoires intégrées) et sa diffusion (sur un écran vidéo, sur le net, ou un autre support), c’est le rapport image-réalité qui est interrogé. Il s’agit d’offrir aux artistes un espace d´expression d´idées et de réflexions, en confrontant leur imaginaire, leur créativité et leur sensibilité au langage du numérique, du virtuel et des réseaux.
La rencontre de ces environnements créatifs, audacieux, poétiques ou polémiques est aussi une façon différente de raconter nos sociétés avec des photos d’aujourd’hui, qui parlent autant des autres que de nous-mêmes. Elles sont le reflet d’un monde global, qui se décline aussi au niveau local.

Calendrier :
10 octobre : Clôture des inscriptions au concours.
Les portfolios des candidats doivent être téléchargés sur www.prixphotoaliancafrancesa.com
1er novembre : Annonce des 12 portfolios présélectionnés et ouverture du vote public.
25 novembre : Annonce des lauréats à Rio de Janeiro.

Information France : Stéphane Joseph – stephane.joseph@scam.fr – 01 56 69 58 88 / 06 82 90 01 93
Informations et inscriptions : www.prixphotoaliancafrancesa.com

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Jean Lartéguy, Prix Albert Londres 1955, est mort ; Ses amis et confrères saluent avec émotion la mémoire d’un maître du grand reportage, digne héritier d’Albert Londres.
Avec talent, ce baroudeur au cœur tendre avait porté son regard sur ses contemporains. Dans le livre Grands reporters édité par Les Arènes en novembre dernier, Jean occupe une place singulière car ses articles restent des modèles du genre pour des générations de journalistes.

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Si la liberté de pensée est un des piliers de la démocratie, la liberté de la presse en est son expression. Si les peuples arabes ont soif de liberté et se battent aujourd’hui pour la conquérir, les journalistes du Prix Albert Londres veulent leur dire combien la presse est essentielle la nourrir.

Les idéaux de la révolution de jasmin qui embaume aujourd’hui tout le monde arabe ne s’épanouiront que s’ils s’enracinent dans le terreau de la liberté de la presse, condition sine qua non de la liberté d’expression et de pensée ; c’est pourquoi les journalistes du Prix Albert Londres ont décidé de remettre leurs Prix à Tunis, le 14 mai prochain, en solidarité avec cette presse libre appeler à naître.

Les membres du jury* délibèreront à Tunis et inviteront les lauréats du Prix Albert Londres 2011 (le 73e Prix de presse écrite et le 27e Prix audiovisuel), à venir les rejoindre dans la capitale tunisienne pour recevoir leur prix devant tous ceux, nombreux, attachés aux valeurs de la démocratie.

Information > Stéphane Joseph : 01 56 69 58 88 / 06 82 90 01 93

Rappel :
la date limite
de dépôt des candidatures
est fixée au 31 mars.

* Le jury est composé de 23 journalistes, écrivains, réalisateurs : Josette Alia, Lise Blanchet, Hervé Brusini, Annick Cojean (présidente), Michel Croce-Spinelli, Thierry Desjardins, Jean-Claude Guillebaud, François Hauter, Christian Hoche, Catherine Jentile, Marc Kravetz, Jean-Xavier de Lestrade, Alain Louyot, Jean-Paul Mari, Michel Moutot, Philippe Rochot, Patrick de Saint-Exupéry, Henri de Turenne, Olivier Weber, des lauréats 2009, Sophie Bouillon et Alexandre Dereims et des lauréats 2010, Delphine Saubaber et Jean-Robert Viallet.

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Le Conseil représentatif des institutions juives de France et l'ambassadeur d'Israël demandent à être reçus par le président de France Télévisions.

Cette démarche fait suite à la campagne diffamatoire lancée contre l'émission « Un oeil sur la planète ». Son « crime »: avoir consacré, le lundi 3 octobre, deux heures de reportages à la question: « Un Etat palestinien est-il possible? »

Communiqués hystériques, flot de courriers électroniques souvent insultants, menaces physiques contre le présentateur de la soirée : tout est bon pour tenter d'intimider les journalistes de France 2.

Tout, sauf des arguments rationnels. Aucun de ces textes – y compris une contre-émission sur le site de l'ambassade d'Israël – n'a réussi à démontrer la moindre erreur factuelle qu'auraient commise les journalistes du magazine « Un oeil sur la planète ».

Nous, journalistes de médias et de sensibilités différents sommes évidemment attentifs à la critique constructive des lecteurs, auditeurs et téléspectateurs. Mais ce n'est pas de cela qu'il s'agit.

C'est pourquoi nous, Syndicat National des Journalistes (SNJ), première organisation de la profession, affirmons notre solidarité avec nos confrères attaqués et disons « assez » !
Comme si le harcèlement contre Charles Enderlin n'avait pas suffi. Répétons-le : il ne revient pas à une ambassade ni à un organisme communautaire – quels qu'ils soient – de dicter aux journalistes français ce qu'ils doivent et ne doivent pas écrire ou dire.

Paris, le 10 octobre 2011.
Contact : Dominique Pradalié, secrétaire générale du SNJ,
06 73 68 26 59 ou dpradalie@snj.fr
Les pétitions sont à envoyer au :
SNJ – 33 rue du Louvre – 75002 Paris ou snj@snj.fr

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L’association du prix Albert Londres tient à affirmer sa solidarité avec les confrères journalistes d’« un Œil sur la planète », calomniés et menacés depuis la diffusion le 3 octobre dernier sur France 2 d’un numéro intitulé « un Etat palestinien est-il possible ? ».

En parlant de cette émission, le CRIF évoque des « insinuations à la limite des théories conspirationnistes antisémites » et le porte-parole de l'ambassade d'Israël à Paris, s'insurge contre un « travail de propagande et de manipulation incitant à la haine raciale ». Le président du CRIF et l’ambassadeur d’Israël ont demandé et obtenu de pouvoir être reçus par le président de France télévisions, pour discuter « de la façon de rétablir la pluralité des opinions à France 2 »…

En France, la critique est libre. Et tous ceux qui ont traité du Proche-Orient savent que les questions y sont complexes et les sensibilités à vif. Mais le travail du journaliste est de révéler la vérité, même quand elle est difficile à entendre. Jusqu’à preuve du contraire, aucun des faits présentés dans cette émission n’a pu être démenti. Et il n’est du ressort ni d’un organisme communautaire, ni d’une ambassade étrangère de dicter le contenu d’un organe de presse.

Au nom de la liberté d’expression, l’Association du Prix Albert Londres dénonce ces attaques au droit fondamental d’informer, cette ingérence dans le travail journalistique, et apporte son soutien aux journalistes qui ont réalisé pour cette émission une enquête sérieuse et remarquable.

Information presse > Stéphane Joseph : 01 56 69 58 88 / 06 82 90 01 93

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L’Association du Prix Albert Londres tient à manifester sa solidarité avec Danielle Arbid (Prix Albert Londres 2001 pour son documentaire Seule avec la guerre tourné au Liban) dont le dernier film de fiction Beirut Hotel, également tourné au Liban, vient d’y être censuré.

Toutes les censures qu’elles soient d’ordre moral, politique, économique ou religieux sont condamnables. L’Association du Prix Albert Londres regrette donc particulièrement cette censure au Pays du cèdre qui, dans un esprit d’ouverture, avait pourtant accueilli en 2007 la cérémonie de remise des prix Albert Londres.

Les censeurs devraient savoir que leur action met un coup de projecteur sur les œuvres qu’ils entendent soustraire au public ; l’association du Prix Albert Londres se réjouit donc de la diffusion de Beirut Hotel de Danielle Arbid sur Arte le 20 janvier prochain dans sa version non censurée.

Information > Stéphane Joseph : 01 56 69 58 88 / 06 82 90 01 93

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Les journalistes du Prix Albert Londres et les auteurs de la Scam ont appris avec douleur et stupéfaction la disparition tragique de leur ami et confrère Gilles Jacquier alors qu’il effectuait un reportage pour Envoyé Spécial à Homs en Syrie.

Gilles filmait pour témoigner, il a ainsi porté sa caméra dans toutes les plaies du monde.

Professionnel reconnu, il avait notamment obtenu le Prix Albert Londres en 2003 avec Bertrand Coq pour ses reportages sur Naplouse diffusés dans le journal télévisé de France 2 et le Prix Scam au Festival de Bayeux en 2010 pour son reportage Ecole en Afghanistan : un tableau noir.

Les morts se comptent par milliers en Syrie… Gilles Jacquier était à Homs pour en témoigner, il est mort à 43 ans sur le front de l’information.

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